
Les élections passées, les partis politiques ne se bousculaient pas derrière la banderole de tête "Egalité, ne transigeons pas": si le PS était représenté par l'élue parisienne Anne Hidalgo, le PCF par les sénateus Nicole Borvo et Robert Hue et la LCR par Alain Krivine, le Modem n'avait envoyé personne et la présence de Jean-Luc Romero, conseiller régional, n'avait rien d'une représentation officielle de l'UMP.

Une foule dense et bigarrée - estimée à 700 000 participants - et rassemblant beaucoup de jeunes, de couples et de familles, s'égayait, sous un flot de drapeaux arc-en-ciel.
Alors que les résultats électoraux "contredisent notre but d'obtenir l'égalité des droits pour le mariage ou l'adoption notamment, nous ne le lâchons pas", a déclaré le porte-parole associatif.

Les associations se sont en effet émues de "l'affichage malheureux à dix jours de la Marche" du premier ministre François Fillon aux côtés de Christian Vanneste. Le député apparenté UMP du Nord est la première personne condamnée en France au titre de la loi du 30 décembre 2004, votée par l'UMP, réprimant les injures et discriminations homophobes.
L'objectif est donc de "faire changer d'avis cette majorité : cela peut paraître ambitieux mais elle a montré par le passé avec le pacs qu'elle le pouvait. Pourquoi ne ferait-on pas le même pari


Il y a beaucoup d'hétéros dans le cortège", s'est réjoui Alain Piriou, "preuve que notre message n'est pas "communautaire mais universel et peut être porté par tout le monde".
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